Sommaire


Réalisation automatique d’une action motorisée ou mécanique en fonction d’une situation (par ex. Fermeture de clapets suite à la détection d’un incendie, orientation d’un pare-soleil en fonction de la direction du soleil).


Sécurité

La multitude de sondes et capteurs (luminosité, présence, hygrométrie, etc.) permet de communiquer auprès des automates les informations nécessaires pour assurer le confort des occupants.

Exemple : Fermetures des lanterneaux en cas de pluie et vents violents / Ouverture des appareils en fonction des souhaits de température.

 Économique

Le pilotage permet d’optimiser les solutions (lumière naturelle, l’ombrage, etc.) et accroitre les économies déjà réalisées sans pilotage.

 

 Confort

Le pilotage assure un confort indirect surtout ressentit lorsque l’on en est privé. Il évite l’intervention humaine. Cette automatisation permet à l’utilisateur de se  libérer du temps et ne plus se demander si tout est bien fermé (esprit libéré).

 

 

Le pilotage est réalisé par l’interaction continue de différents accessoires prenant en compte des phénomènes intérieurs comme extérieurs au bâtiment. Cette communication donne lieu à l’exécution de tâches propres à chaque solution (ouverture/fermeture d’ouvrants ; ombrage partiel ou non ; lumière artificielle activée ou éteinte…)

 

L’installation de ces sondes et autres accessoires (int./ext.) doit être étudiée au mieux afin d’obtenir les résultats escomptés. Elles peuvent mesurer les températures intérieure et extérieure, le taux de CO2, l’hygrométrie ou encore le nombre de Lux dans une pièce.

 

Afin de permettre aux solutions d’exécuter certaines fonctions, il est impératif de connaître le besoin des occupants qui sera traduite par une consigne auprès des automates (température ou hygrométrie de consigne) dans le but de réguler et être au plus proche du besoin.